Rendre visibles les injustices du système alimentaire avec les premières et premiers concerné·es et porter les réflexions et propositions des groupes locaux
Avec le mouvement Carav'alim, nous souhaitons :
- Outiller et accompagner les groupes pour faire émerger une compréhension des enjeux de l’alimentation, des réflexions et propositions
- Rendre visible les injustices alimentaires avec et à partir des vécus des premier·es concerné·es
- Porter des propositions dans des espaces médiatiques et de plaidoyer en faveur du droit à l'alimentation
Contribuez au haut-parleur des injustices alimentaires !
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Selon vous, quelles sont les injustices alimentaires qu'il faudrait rendre plus visibles, plus audibles ?
Quelques propos recueillis sur les ateliers Carav'alim
« Bien se nourrir c'est important pour la santé. Le problème c'est le revenu ! Avec ma retraite à 770€ comment je fais ? Alors, je vais à la Croix Rouge parfois… » (Romans, janvier 2024)
« Il faut dénoncer le rôle de la distribution et des industries agro-alimentaires dans les injustices alimentaires, mettre en avant que l’alimentation est un sujet de santé publique et de démocratie et que cela ne devrait pas être corrélé aux revenus » (Paris, mars 2024)
« Il n’y a pas des magasins comme ça partout ! Tu vis dans une cité du 93 tu fais comment ? » (Avignon, octobre 2024)
« Je suis catastrophée par ce qu'on reçoit comme denrées alimentaires [sur une distribution d'aide alimentaire]. On finit par légitimer le gaspillage, c'est moralement pas acceptable ! On devient la caution de ce système » (Strasbourg, février 2024)
« L’alimentation c’est important. Il ne faut pas s’étonner qu’il y ait des maladies liées à l’alimentation : obésité, diabète… » (Brest, février 2024)
« C’est difficile d’accéder à la connaissance sur l’approche de l’alimentation, c’est très dépendant de notre culture, éducation, rencontres… » (Avignon, octobre 2024)
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« Il faut dénoncer le rôle de la distribution et des industries agro-alimentaires dans les injustices alimentaires, mettre en avant que l’alimentation est un sujet de santé publique et de démocratie et que cela ne devrait pas être corrélé aux revenus » (Paris, mars 2024)
« Il n’y a pas des magasins comme ça partout ! Tu vis dans une cité du 93 tu fais comment ? » (Avignon, octobre 2024)
« Je suis catastrophée par ce qu'on reçoit comme denrées alimentaires [sur une distribution d'aide alimentaire]. On finit par légitimer le gaspillage, c'est moralement pas acceptable ! On devient la caution de ce système » (Strasbourg, février 2024)
« L’alimentation c’est important. Il ne faut pas s’étonner qu’il y ait des maladies liées à l’alimentation : obésité, diabète… » (Brest, février 2024)
« C’est difficile d’accéder à la connaissance sur l’approche de l’alimentation, c’est très dépendant de notre culture, éducation, rencontres… » (Avignon, octobre 2024)
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